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Il y a quelque chose qui sépare poète et roseEt la rime n'est pas aussi belle qu'avantMais il y a quelques hommes assis aux bas des colonnesQui font saluer les statues des gèantsUne colombe blessée s'endort sur les barbelésEt la rose meurt sous les fleurs de métalDerrière la porte brisée et le Café désertéOn Sait bien qu'il n' y a que les fleurs du malMais si notre terre ne donnait plus de moissonSi1e cÂœur en oubliait jusqu'à son nomSi le feu brûlait la landeDes digues venaient à se fendreQue le dernier mot prononce soit nonQue le dernier mot prononcé soit nonLe livre est perdu et les hommes ne s'aiment plusOn dit que c'était un beau livre d'amourDe non jours il n'y a guèreQue les hommes qui font 1a guerreEt ceux qui meurent avant d'avoir vu le jourMais si notre terre ne donnait plus de moissonSi le cÂœur en oubliait jusqu'à son nomSi le feu brûlait la landeLes digues venaient à se fendreQue le dernier mot prononcé soit nonQue le dernier mot prononcé soit non, non, nonQue le dernier mot prononcé soit non
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