Esse letra de Kamnouze já foi acessado por 128 pessoas.
Refrain :
hostile, de quel côté se placé pour identifier l'ennemi ?
hostile, je me sers de mon bon sens pour assurer ma survie,
hostile, je me place du bon côté pour identifier l'ennemi
hostile, je me sers de mon bon sens pour assurer ma survie.
Je, tu, il, nous tous évoluons en milieu hostile, notre sécurité est
sous la tutelle de la force répressive, nucléaires sont les têtes des
ogives, qui nous protègent d'un voisin d'humeur potentiellement
agressive, oh que je me sens bien en pensant aux collégiens pris
dans l'amiante, tout comme nous dans le métropolitain, nous
voyons combien notre espace de survie se Tchernobylise, évoluant
dans les sables mouvants, faisant abstraction des différents éléments
les composant, sans pour autant temperer propos ou arguments,
répandant cependant la gangrene dans leur système qui t'aime tant.
Ressens ce sentiment, t'embrassant, t'enlaçant, tu sens la bête
sucer ton sang t'enlaçant, t'entends ce sifflement lancinant,
prémisse à l'apocalypse qui t'attend, quand tu laisses
monter l'allégresse, monter le son dans la pièce...
hostile, je me place du bon côté pour identifier l'ennemi
hostile, je me sers de mon bon sens pour assurer ma survie.
Puis tel un corps étranger, l'hostilité, l'animosité va s'emparer de tous
les centres nerveux et ainsi briser l'homogénéité de cette entité qui
peu à peu va se sentir faiblir, flétrir, pour finalement faillir et voir
bâtir en son sein l'objet de son martyre, à la répression s'est
opposée la contestation, la contamination gangrene le donjon.
Le donjon, descendons, voyons plus-bas, glissons le long du pont-levis,
là où se trouvent les douves dehors, hors de la citadelle, la triste
et belle louve dort, protégeant ses petits hurlant à la mort,
impuissante à apaiser leur appetit, à l'intérieur on se gave, se vautre
dans le luxe et la richesse, tandis qu'a l'exterieur de l'enceinte se
dresse de toute sa splendeur le peuple en détresse.
refrain
L'étrange sensation se précise lentement, l'air autour de moi se fixe
et je sens monter par delà les chandelles et l'encens, le souffle
froid de tous ces gens et toujours ce vent... x2
On peut nous mettre de côté, tenter de nous ignorer, nous faire abattre
en toute légalité, mais pas mettre un frein à nos idées, elles vont se
perpetuer à travers tous ceux qui ont décidés de privilégier
l'acte de penser.
On peut nous mettre de côté, tenter de nous ignorer, nous faire abattre
en toute légalité, mais pas mettre un frein à nos idées...
Para enviar você precisa efetuar um cadastro gratuito no site. Caso já tenha um cadastro, acesse aqui.
Acesse agora, navegue e crie sua listas de favoritos.
Entrar com facebook Criar uma conta gratuita
Comentários (0) Postar um Comentário