Esse letra de Reggiani Serge já foi acessado por 92 pessoas.
Le vingt et un septembreJe reprends ce journalDans la fenêtre de ma chambrePasse un oiseau banalIl y a la grève du métroTout à l'heur' ma mère est passée...Elle a dit que je fumais tropPuis elle a parlé du passéJ'ai vu au soleil de la rueMarcher une femme aux bras nus...Samedi trois décembreJe n'ai plus rien écritDepuis ce jour de fin septembreOù il y a eu ce criC'était dans le jardin voisinSes bras nus enlaçaient quelqu'un...Il a neigé tout ce matinJe lui ai parlé dans la rueJ'ai dit, j'ai dit, je ne sais plusMais ce soir c'est chez moi qu'ell' vient...Dimanche douze avrilLe printemps est en villeJ'écris ce soir à l'encre roseIl s'est passé des chosesMoi qui disais que le mariageN'était pas encore de mon âge...Ma mère avait un chapeau blancMes deux frères avaient mis des gantsC'était en janvier, et pourtantOn croirait qu'il y a longtempsNous sommes fin septembreJe ne sais plus le jourMe revoici dans cette chambreUn homme sans amourJe n'ai pas bien compris pourquoiN'en parlons plus, n'en pleurons plus...Je la regarde qui s'en vaDans le soleil la rue est sageCette douce femme aux bras nusQue je vois sortir de l'image...Cette douce femme aux bras nusQue je vois sortir de l'image...
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