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En ce temps là nous aurions décroché la lunePour gagner l'tour gratuit au manège de la vieNous flânions en chemin, nous chantions pour des prunesCueillant de ci de là le sourire d'une filleC'était encore le temps des émotions primairesOn s'emplissait les yeux d'un couché de soleilNous n'avions ni le goût, ni le sens des affairesMais un sens de la vie qui n'a plus son pareilComme avant, comme avant,En ces jours de lumièresJ'aimerais tant retrouverLes parfums oubliésDes bonheurs ordinairesEn ces jours de lumièreC'était aussi le temps des amitiés sans faillePrêts pour tous les départs ensemble à l'arrivéeNous étions deux amis et qu'importait la!tailleNous étions deux géants, nous étions une arméeComme avant, comme avantEn ces jours de lumièreJ'aimerais tant retrouver les parfums oubliésDes bonheurs ordinaires,En ces jours de lumièreNous avions tous les pouvoirs,Dans nos solitudes d'orNous gardions tous nos espoirs,Nous ne rampions pas encoreEn ces jours de lumière, en ces jours de lumièreEn ces jours de lumière...Et nous passions les nuits à retoucher le mondeEt au petit matin, nous avions tout comprisNous avions les idées, nous avions la facondeTout devait être beau, il suffisait d'un "si"Comme avant, comme avant,En ces jours de lumièreJ'aimerais tant retrouverLes parfums oubliésDes bonheurs ordinairesComme avant, comme avant,En ces jours de lumièreJ'aimerais tant retrouverLes parfu!ms oubliésDes bonheurs ordinaires{ad libitum}
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